Les Bleus défient l’Argentine au Stade de France. Retrouvez tous les essais de la rencontre.
L’équipe de France en termine ce vendredi avec sa tournée hivernale face à l’Argentine au Stade de France, avec l’ambition de réaliser un parfait trois sur trois après les succès obtenus face au Japon et à la Nouvelle-Zélande.
Bonne nouvelle pour les Bleus, après une entame de match équilibrée, Thibaud Flament est parvenu à trouver un petit trou de souris pour inscrire le premier essai de la rencontre à la 8e minute de jeu. Un essai transformé ensuite par Thomas Ramos pour donner sept longueurs d’avance aux hommes de Fabien Galthié.
Une équipe de France qui se détachait un peu plus grâce à Gabin Villière. L’ailier français concluait une belle offensive hexagonale au terme du 11e temps de jeu. Toujours impeccable dans son jeu au pied, Thomas Ramos transformait une nouvelle fois et les Bleus creusaient l’écart (20-9, 34e).
Dans la foulée, sur un bon ballon au pied du même Ramos en profondeur vers Bielle-Biarrey, le 3e ligne argentin Gonzalez n’avait d’autre choix que de volleyer volontairement le ballon ovale en touche. Après examen de la vidéo, l’arbitre décidait de la double sanction, logique : essai de pénalité et carton jaune pour le Gaucho (27-9, 36e).
Las, après ce premier acte de fort belle tenue sur le plan offensif, les Bleus baissaient de pied au retour des vestiaires et les Argentins en profitaient pour trouver des espaces et s’offrir quelques belles percées. Et à force, la formation sud-américaine parvenait à inscrire son premier essai de la rencontre par le biais de Gallo à la 55e minute (30-16).
Cet essai argentin avait le mérite de piquer au vif les Bleus et de les réveiller. Il ne fallait alors qu’une poignée de secondes pour assister au 4e essai français. Mis sous pression, les Gauchos se faisaient contrer une première fois, avant de perdre le ballon. Ce qui offrait une opportunité à Bielle-Biarrey de réaliser un petit exploit personnel pour effacer trois adversaires et aplatir dans l’en-but adverse (37-16, 57e).
Source du contenu: www.lefigaro.fr