Alors que les prix du « Swiss made » atteignent des sommets, on peut aussi trouver des modèles accessibles, entre essor de jeunes marques, maisons françaises ou japonaises, retour en grâce du quartz et engouement pour le méca-quartz.
Les temps sont-ils durs ? Sans aucun doute. Pour autant, le monde n’a pas cessé de porter une montre au poignet. Seul hic : le prix du « Swiss made » n’a, lui, pas cessé d’augmenter, non seulement ces derniers mois, mais durant les deux décennies qui viennent de s’écouler. Un modèle de luxe proposé à 1 500 € à l’orée des années 2000 vaut facilement quatre fois plus en boutique à l’heure actuelle. Une pièce hier à 500 € franchit allègrement la barre des 1 000 € aujourd’hui. On compte même, sur certaines montres mécaniques issues de prestigieuses manufactures helvètes, 1 000 € d’écart pour chaque millimètre de diamètre de boîtier en plus ou en moins… Dans ce laps de temps, les salaires des amoureux de garde-temps, eux, n’ont pas doublé, et encore moins quadruplé. Si bien que les ventes ont mécaniquement baissé et que certaines marques ont été comme frappées par le « syndrome du timbre-poste » : si l’on vend moins, vendons…
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