« Éclats du monde » N°52 : Olaf Scholz, le maillon faible de l’Europe

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LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS – Le chancelier allemand a brisé l’unité européenne en téléphonant à Vladimir Poutine et continue de faire défaut à ses alliés en prévoyant de faire campagne pour les législatives du 23 février sur le dos de l’Ukraine.

Chers abonnés,

Comment ne pas être troublé par le parallèle historique ? Le chancelier allemand Olaf Scholz est le premier dirigeant européen à lâcher l’Ukraine en rase campagne. S’inscrivant dans les pas de Neville Chamberlain, il est le premier allié occidental à rechercher un apaisement avec Vladimir Poutine. Contrairement à ses affirmations, Olaf Scholz n’a pas passé une heure au téléphone avec le numéro un russe dans l’unique but de trouver une paix juste en Ukraine. À la tête d’un gouvernement minoritaire depuis qu’il a chassé les libéraux de sa coalition, le social-démocrate entend faire campagne pour les législatives du 23 février en se présentant comme le « chancelier de la paix ». Alors que les sondages lui prédisent une défaite sans appel et que le SPD s’interroge sur l’opportunité de faire campagne derrière lui, Scholz n’hésite pas à passer l’Ukraine, agressée par son voisin russe depuis 2014 et avec lequel elle est en guerre depuis 1000 jours

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Source du contenu: www.lefigaro.fr

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