Fait inédit dans la longue histoire du patrimoine, la cathédrale doit intégralement son salut à des dons, français et étrangers, pour un total de 846 millions d’euros.
Il y aura foule le 29 novembre dans la cathédrale lors de la visite d’Emmanuel Macron et de l’archevêque de Paris, Mgr Ulrich. Autour de ceux qui auront œuvré à sa renaissance, se tiendront également des dizaines de mécènes et donateurs, sans qui rien n’aurait été possible. « Bernard Arnault espère pouvoir en être, en tout cas moi, j’y serai », promet Jean-Paul Claverie, conseiller du président de LVMH.
Pour ceux qui rateront le coche, il restera les journées très protocolaire des 7 et 8 décembre, ainsi que la messe du 11 décembre, donnée en l’honneur des 340 000 personnes ayant volé au secours de la cathédrale. Avec 1 500 places assises dans la nef, on comprend qu’il y aura des déçus – notamment parmi les « petits ». « Je n’ai eu aucune nouvelle de qui que cela soit depuis mon don, sans parler d’une invitation à visiter le chantier », se désole l’un d’entre eux. Au cours des cinq ans, les Pinault (100 millions d’euros de mécénat) ou…
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